Je veux que les femmes aillent bien, qu’elles soient alignées avec elles-mêmes.
Je veux que les femmes aillent bien, qu’elles soient alignées avec elles-mêmes.
Le caractère inédit des confinements a été tout autant perturbant pour certaines que bénéfique pour d’autres. C’est le cas pour Alexandra PRAT, membre de la coordination de Mâcon et fondatrice d’un cabinet d’hypnose ericksonienne spécialisé dans l’accompagnement des femmes et de la périnatalité.
Ma fille, tu seras salariée
Pendant presque 20 ans, la vie professionnelle d’Alexandra est un éternel décalage. Des souhaits d’orientation contraires à son éducation, un sentiment de ne jamais être à sa place dans chacun de ses postes, l’ennui pesant et récurrent face à une charge de travail vite accomplie.
Sa famille n’ayant pas la culture de l’entrepreneuriat, Alexandra met de côté son souhait de devenir psychologue et choisit d’accompagner les autres en mettant à leur service ses capacités organisationnelles quasi « militaires » : elle devient assistante de direction. Elle peine malheureusement à s’épanouir, même dans son dernier poste, pourtant idéal sur le papier.
« La plupart de mes activités étaient sans valeur ajoutée », un quotidien peu valorisant pour cette passionnée des échanges humains.
On attire ce que l’on vibre
Le confinement de mars 2020 est arrivé à point nommé pour Alexandra. La disponibilité de temps et d’esprit ainsi offerte lui permet d’accepter tous les signes vers sa nouvelle voie.
Elle repense à cette coach qui lui disait qu’il n’est pas trop tard pour suivre la piste de la psychologie, ou encore à cette hypnothérapeute inspirante de 50 ans qui lui indiquait qu’elle pouvait en arriver au même stade qu’elle.
C’est également à cette période qu’elle découvre Femmes des Territoires. Grâce à la plateforme, elle fait des rencontres impensées et suit des ateliers déterminants pour la suite de son parcours, notamment celui de Flore Crépin qui l’accompagnera ensuite pour débloquer ses croyances limitantes liées à l’argent.
« Je veux que les femmes aillent bien, qu’elles soient alignées avec elles-mêmes », Alexandra a donc été sa première cliente ! À l’écoute de tous ces signes, elle décide de se former à plusieurs pratiques d’hypnose à l’été 2020 et d’ouvrir son cabinet, chez elle dans le Beaujolais, en octobre 2020.
Aujourd’hui, je suis là où j’ai besoin d’être
Femmes des Territoires lui permet de tester son activité en proposant des ateliers, d’être écoutée et d’écouter d’autres femmes. Elle prend d’ailleurs conscience du besoin d’accompagnement de la féminité, et décide d’en faire sa spécialité.
Alexandra constate que la période de la grossesse est relativement bien prise en charge mais que ce n’est pas le cas des périodes pré et post-partum. C’est pourquoi elle accompagne la périnatalité (PMA, dépression, deuil, etc.), ainsi que le passage à la ménopause. « Mes clientes viennent comme elles sont et repartent comme elles veulent être, je suis un outil pour elles ».
C’est bien ce sentiment d’être utile qui la motive chaque matin. C’est avec sororité, respect et bienveillance, valeurs qu’elle retrouve chez Femmes des Territoires, qu’Alexandra œuvre avec succès.
Depuis que je suis entrepreneure, je ne suis plus seule
En moins d’un an d’exercice, son activité est bel et bien lancée pour lui permettre d’en vivre pleinement. Elle aime tellement ce qu’elle fait qu’elle n’a plus l’impression de travailler et peine à identifier les inconvénients de son nouveau statut d’indépendante.
Outre Femmes des Territoires, Alexandra fréquente différents réseaux liés au business ou à son activité, elle co-anime des ateliers avec des praticien.ne.s de médecines douces, elle envisage une co-activité avec des soignant.e.s n’ayant pas le temps ou les bons outils pour accompagner les femmes …
Bref, elle regorge d’idées pour s’entourer et donner corps à ses valeurs.
C’est d’ailleurs l’un des avantages de l’entrepreneuriat : travailler pour soi en accord avec sa propre vision des choses. Elle est d’ailleurs fière de donner cet exemple à ses enfants, qu’elle peut, désormais, un peu plus voir grandir.
Comme elle l’est pour elle, Alexandra nous conseille d’être à l’écoute de nous-même pour être bien dans nos baskets et ainsi nous donner l’impulsion d’avancer.
Se faire accompagner, oser poser des questions, échanger uniquement avec des personnes constructives en zappant celles qui sont négatives, voilà autant de conseils pour identifier ses peurs, ses blocages et les solutions qui vont avec !
Une dernière question d’Alexandra pour vous : « Quel est le prochain petit pas vers votre objectif ? » À vous de répondre 😉
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