Nous devons mutualiser nos compétences
Nous devons mutualiser nos compétences
Quand Angélique Boisseleau a connu Femmes des Territoires, c’est assez spontanément qu’elle s’est proposée pour animer la coordination des Herbiers.
Indépendante et entreprenante, à 40 ans, cette passionnée de mode et des relations humaines a capitalisé sur ses expériences passées pour créer « Contresens », un processus engagé qui propose un parcours inversé. Se (re)trouver et se connaître avant de travailler sur l’alignement, la posture et l’image, afin d’adapter notre dressing à notre personnalité.
Un engagement qu’elle pousse aussi jusqu’aux portes de Ticket for change, l’école nouvelle génération qui accompagne les acteurs du changement. Angélique y anime sous forme d’Explorations de 48 heures une pédagogie qui aide les participants à remettre du sens au cœur de leurs carrières.
Quel est le sens de ton activité ? Pourquoi la mènes-tu ?
Le sens de mon activité est justement de faire un parcours à contresens de tout ce que nous avons fait ou faisons habituellement, c’est à dire partir du soi et non partir du quoi. Je mène cette activité pour donner la possibilité aux personnes d’être en alignement, et donc par conséquent de trouver un équilibre et un sens à leurs actions au quotidien.
Raconte-nous le(s) déclic(s) qui t’a/ont poussée à entreprendre et les conseils que tu distillerais à celles qui n’osent pas encore franchir le cap ?
Au cours de mes différentes missions, activités et expériences professionnelles, j’ai régulièrement été force de proposition pour tester et amener de nouvelles choses. J’ai parfois ressenti la frustration d’être limitée dans mes possibilités d’expérimentation et de dépassement au sein d’une structure. Donc une des possibilités pour pouvoir continuer à avancer, à apprendre et à me nourrir de nouvelles connaissances était pour moi de créer mon job et d’entreprendre.
Afin de pouvoir réaliser cette transition, j’ai suivi un programme qui accompagne les porteurs de projets (Ticket For Change). Ce parcours m’a permis de confronter mon projet auprès d’une multitude de mentors. Pour moi, l’accompagnement est primordial quand on se lance, il faut absolument sortir de l’isolement. Rester dans l’action et le mouvement et faire du réseau au quotidien.
Pourquoi t’es tu engagée dans le réseau ?
Quelles actions comptes-tu mener ?
Je me suis engagée car il y a un énorme besoin sur le territoire, ce réseau est large et parle à beaucoup de femmes. Nous devons apprendre les unes des autres et partager, mutualiser nos compétences, nos réseaux afin de pouvoir s’entraider et avancer plus vite dans nos projets et nos entreprises.
Femmes des Territoires répond parfaitement à mes attentes car il est à la fois local et régional avec la possibilité d’étendre notre champ d’action et de développement.
Je compte mener différentes actions en co-construction avec les adhérentes du réseau et le tissu local, l’idée étant de croiser nos savoirs et connaissances sur un secteur déjà ultra dynamique d’un point de vue associatif et économique.
Contacter et suivre Angélique Boisseleau
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